La Valse lente des tortues

De Katherine Pancol

Ce libre est une bourrasque de vie…

Un baiser brûlant du seul

Qu'on ne doit pas embrasser.

Deux bras qui enlacent ou qui tuent.

Un homme inquiétant, mais si charmant.

Une femme qui tremble et espère ardemment …

Un homme qui ment si savamment.

Une femme qui croit mener la danse,

Mais passe son tour.

Des adolescents plus avertis que les grands …

Un père, là-haut dans les étoiles,

Qui murmure à l’oreille de sa fille …

Un chien si laid qu'on s’écarte sur son passage.

Des personnages qui avancent obstinément, comme de petites tortues

Entêtées qui apprendraient à danser

Lentement, lentement, dans un monde trop rapide, trop violent …

La vie de Joséphine prend un nouveau tournant grâce à sa fille Hortense : elle déménage …

Elle ouvre les yeux sur le monde … et apprends petit à petit à savoir qui elle est.

Tous les personnages « grandissent » mais certain passage sont « trop tiré par les cheveux »

Un deuxième volet que j’ai un peu moins apprécié que le premier  mais j’attendais  néanmoins avec impatience de connaître la fin. 

« Je suis morte, ce jour-là. Je suis devenue une morte qui porte le masque d’une vivante. J’agis sans jamais établir de lien entre ce que fais et moi. Je ne suis plus réelle. Je deviens virtuelle. »

«  C’était donc ça un baiser ? C’était comme dans les livres quand la terre s’ouvre en deux, que les montagnes dégringolent, qu'on signe pour mourir la fleur aux lèvres … »

« On peut faire baisser les yeux de quelqu’un qui vous aime, mais on ne peut pas faire baisser les yeux de quelqu’un qui vous désire »

« Et le rouleau de vagues l’avait écrasée, emportée, renvoyée vers le large, vers une noyade certaine. »

La suite avec le dernier volet « Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi »